Les bénéfices de cette pratique, lors des ateliers que j’anime dans l’esprit de «la pédagogie Marie Pré»
Par sa forme spécifique, en résonnance avec nos cellules, le mandala met le cerveau au repos, invite à l’intériorité.
Grâce à sa forme « matricielle », le dessin centré ou mandala offre à chacun un espace sécurisé où exprimer sa créativité dynamisante et joyeuse, centre vivant de la personne.
Dès la mise en couleur, la pratique du mandala est une expression personnelle qui stimule les capacités de concentration, d’attention, de choix, de motricité fine et de mise en projet.
Cette expression s’approfondit en douceur dès qu’on aborde la création. Cette dernière est un chemin infini qui va de l’activité ludique à une meilleure connaissance de soi, à travers différentes techniques.
La facilité de cette pratique nourrit la confiance en soi, permet de cheminer à son rythme, aide à apaiser les angoisses.
Le fait d’accompagner chaque création d’un mot, d’un train de mots, voire d’un texte, permet l’harmonisation du cerveau et un recentrage dans son axe. Ce recentrage aide à résister à la sur-stimulation actuelle qui amène la dispersion intérieure, la dilution de ses objectifs prioritaires.
Le partage autour des réalisations, les créations collectives, l’exposition possible de ses productions nourrissent les besoins de lien, de valorisation, de coopération et d’appartenance.
La pratique régulière du mandala et la mise en valeur de ses créations offrent l’opportunité d’un regard sur sa propre évolution
Marie Pré est un précurseur de l’approche du mandala en France. Elle a construit une pédagogie spécifique issue de la confrontation de son expérience avec les théories d’Antoine de la Garanderie et d’Hélène Trocmé-Fabre (neuro-pédagogue)